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Lundi 10 juillet 1 10 /07 /Juil 20:22

Cela faisait près de deux heures que mon Maître se trouvait sur l'ordinateur, dans son bureau. J'avais hâte qu'il en sorte, car je m'ennuyais ferme. Il n'y avait rien à faire. Il pleuvait à verse depuis deux jours, nous empêchant de sortir, la télé ne proposait rien d'intéressant et je tournais en rond dans la maison. Même mes livres, pourtant nombreux ne m'attiraient pas.

Enfin la porte s'ouvrit, et mon Maître m'appela. Je me précipitai vers lui.

-       Oui, Maître.

-       Je viens de trouver de nouveaux fichiers, contenant des textes, des photos, des dessins et des vidéos. Il y a aussi des liens, ou tu puiseras toi-même ce que tu veux garder. Tu les trieras, les classeras et les rangeras, comme je te l'ai montré la dernière fois. Si jamais je trouve des erreurs, tu seras punie, tu m'as compris?

-       Oui Maître.

-       Très bien. Alors vas y,. je viendrais voir dans un moment comment tu t'en sors.

Sur ce, Il monta l'escalier, me laissant seule. J'ôtai mes vêtement, je savais qu'Il aimait que je sois nue lorsque j'ai un travail à accomplir, lançai un CD de musique qui me plaisait et m'attaquai à ma tache.

Je perdis du temps à regarder les films et les photos. Certaines étaient vraiment magnifiques d'esthétisme, d'autres par contre très dures a regarder. Les heures défilèrent, sans que je ne les voie passer, je me laissais distraire par la vision des images. Mon esprit était plus attentif à ce que je voyais qu'au travail que j'effectuais, et lorsque mon Maître revint, je n'avais pas beaucoup avancé dans mon tri et mon classement. Par contre j'avais écumé presque tous les fichiers qu'Il avait trouvés. Quand la porte s'ouvrit je me levai d'un bond. Son regard parcourut brièvement mon corps nu, puis Il s'approcha de l'ordinateur, posa sa cravache, que je n'avais pas vue, sur le bureau et pris ma place dans le fauteuil. Il travailla quelques instant en silence puis se leva.

-           Je ne sais pas ce qui s'est passé mais tu as fait n'importe quoi! Cela fait une heure et demie que je t'ai quitté, tu as à peine rangé trois dossiers. Et dans le peu que tu as fait, tu as mélangé des photographes et il y a un récit dans les dessins! C'est inadmissible!

-           Je vous demande pardon, Maître. Je…

-           Ferme là ! me coupa t’Il en frappant le plateau du bureau du plat de la main! Je ne veux rien savoir. Lorsque je t'ordonne de faire un travail, j'exige qu'il soit parfait, tu m'entends? Or ce que tu m'as fait là n'est ni fait ni à faire. Je ne le tolèrerai pas. Penche toi sur le bureau et cambre toi.

Je commençai à trembler lorsque je le vis prendre la cravache d'une main décidée. Cinq coups cinglèrent mes fesses sans douceur, et je retins mes cris à grand-peine.

-              Merci mon Maître. Je ne recommencerai pas, je vous le promets.

-              Il y a intérêt, salope, sinon la punition sera plus forte encore. Maintenant file au coin, à genoux et mains contre le mur, et tend ta croupe que je puisse y voir la correction que je viens de te donner.

Je ne répondis rien, et commencerai à obéir lorsqu'un nouveau coup s'abattit sèchement sur le bas de mes reins, me faisant sursauter.

-    Aiiiie! Oui Maître. Pardon…

J'allais me positionner dans un coin de la pièce, présentant ma croupe marquée au regard de mon Maître, qui s'installa confortablement dans le canapé du salon. Je savais qu'Il me voyait parfaitement de là ou Il se trouvait, et le poids de son regard me pesa tout le long de la punition, qui dura une bonne demie heure.

-       Offerte, viens ici.

-       Oui, Maître.

Docilement, à quatre pattes, je m'avançai vers lui, me redressai à genoux et posai mes mains sur ses cuisses. Du doigt il me montra son pantalon et je compris immédiatement ce qu'il voulait. Déboutonnant sa braguette, je sortis son sexe et entrepris de le faire durcir entre mes lèvres. Ma langue virevoltait avec agilité le long de sa hampe et très rapidement il fut long et ferme, gorgé de désir dans ma bouche. Pendant que je le suçai, Il se pencha et assena quelques claques cuisantes sur mes fesses déjà douloureuses, puis sortant son sexe de ma bouche, me fit m'allonger à plat ventre sur ses genoux. Il me fessa longuement, plus ou moins fort, tenant fermement mes mains dans la sienne. La douleur était gérable, les coups n'étaient pas assez puissants pour faire vraiment mal. Un doigt glissé entre mes cuisses l'informa sur l'état d'excitation dans lequel Il me mettait. J'étais littéralement trempée, brûlante. Son doigt entra en moi, me faisant me cambrer en gémissant, puis se retira presque aussitôt.

-    Allonge toi devant moi, par terre, sur le dos, cuisses écartées.

-    Oui Maître.

Je me couchai au sol, sur le carrelage glacé, ce qui eu pour effet de faire dresser mes tétons et me donner la chair de poule.

-       Maintenant, caresse toi. Et regarde moi pendant que tu le fais.

-       Oui Maître.

Au bout de quelques minutes, Il se leva sans un mot et quitta la pièce. Après un instant d'hésitation, je décidai de continuer à me caresser. Il ne m'avait pas dit de cesser. Il revint avec deux pinces à linge en bois, qu'Il posa sur mes tétons, puis retourna s'asseoir. Le mélange de plaisir et de douleur que me procuraient les pinces augmenta mon excitation. Le sexe de mon Maître était toujours aussi dur, je ne pus m'empêcher de poser les yeux dessus, avec l'envie de le sentir à nouveau dans ma bouche, de lui donner encore du plaisir. Il lu dans mes pensées, car Il s'agenouilla devant moi et me présenta son membre sur lequel je me jetai avidement. Mon empressement le fit rire et Il caressa mes cheveux. Il commença un lent va et vient entre mes lèvres tandis que je continuai à me caresser. Ses yeux étaient plongés dans les miens, il pouvait y lire tout ce que je ressentais pour Lui. Quant à lui, Il m'encourageait a continuer à nous donner du plaisir. Ma main droite vint enserrer sa queue sensible et accompagna ses mouvements de reins. Je sentis monter mon plaisir, de plus en plus. Mon souffle se fit saccadé, s'accéléra.

-       Vas y, grogna t'Il. Plus fort! Caresse toi plus fort!

J'obéis tout en essayant de retenir mon plaisir, mais en vain. Au moment ou l'orgasme me submergea et ou je jouis dans un long cri, mon Maître se retira et déchargea en même temps que moi, sur mes seins et mon ventre.

Ma tête retomba sur le sol, ma main gauche quitta mon corps secoué de soubresauts de plaisir. quelques instant à peine plus tard, les pinces se rappelèrent à mon bon souvenir. Maintenant que j'avais joui, elles étaient beaucoup plus douloureuses à supporter, l’orgasme ayant rendu mes tétons nettement plus sensibles. Il les retira délicatement, massa doucement mes pointes torturées, m'arrachant un gémissement de douleur. Puis il me prit dans ses bras, et m'embrassa tendrement sur le front…
Par M_Offerte - Publié dans : Textes SM
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