Présentation

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Mon Serment

Mon Cher Maître,

 

Je fais le serment de devenir la soumise que Vous voulez que je sois. Je promets d’être toujours là pour Vous, d’être disponible dès que Vous le souhaiterez, de Vous être dévouée corps et âme sans restriction.

 

Je promets de toujours Vous dire la vérité et de ne jamais mentir sur quoi que ce soit, d’obéir avec le plus grand dévouement à Vos ordres et d’accepter Vos décisions concernant mon apprentissage et mon dressage immédiatement et sans protester.

 

J’accepterai avec gratitude toute paroles toute sanction, toute punition que Vous jugerez bon de me donner. Je serai avec le plus grand plaisir la chienne, la salope, la putain, la chose, la soumise que Vous voulez que je sois. Vous pourrez user et abuser de moi autant qu’il vous en plaira, chacun de mes orifices sera toujours à votre disposition pour ce que vous souhaiterez en faire.

 

Mon Cher Maître, par cette présente, je dépose donc ma vie, mon corps et mon âme à Vos pieds.

 

 

Votre soumise.

Jeudi 3 août 4 03 /08 /Août 11:10

-    Offerte, m'annonça mon Maître peu avant que j'aille me coucher, Il y a des invités qui viendront passer l'après midi de demain à la maison, ainsi que la soirée. Bien entendu c'est toi qui t'occuperas du repas. Demain matin je te laisserai la liste de ce que tu dois acheter. Je compte sur toi pour que tout se passe bien. Ce sont des invités un peu spéciaux, et tu te devras d'être irréprochable, tant dans ta tenue vestimentaire que dans ta façon de te tenir, de parler et de répondre. Une soumise parfaite. C'est bien compris? Je ne tolèrerai pas le moindre manquement, je serai intransigeant, finit il en insistant sur le dernier mot.

-    Oui Maître.

J'étais un peu déçue. Mon cœur avait fait un grand boum lorsque j'avais entendu le mot "invités", et tout de suite j'avais pensé à mes amies, mais visiblement il ne s'agissait pas d'elles et je n'osais pas poser de questions.

Je dormis très mal cette nuit là, me demandant qui pouvaient être ces "invités spéciaux". Je fus très fébrile au moment de faire mes courses, cherchant les meilleurs produits pour le repas du soir mais ayant une peur terrible d’oublier quelque chose. Je vérifiai ma liste au moins trois fois. Le dîner n'était pas très compliqué à faire, mais dans l'état d'anxiété ou je me trouvais, je savais que je pouvais être capable de faire une véritable catastrophe.

Ils arrivèrent aux alentour de quinze heures, mais je me trouvais dans ma chambre et j'avais interdiction d'en sortir jusqu'au moment ou il serait d'heure d'aller préparer le repas, et j'obéis malgré la curiosité qui me tenaillait. Mon angoisse perdit de son importance en entendant des rires, féminins et masculins, monter du salon. J'avais décidé de porter une robe blanche, de remonter mes cheveux en une torsade serrée et de me maquiller légèrement, et j'avais tout disposé sur mon lit avant de descendre à la cuisine. Mais alors que j'étais en pleine préparation de mon dessert, mon Maître m'appela et me présenta ses invités. Trois couples, vêtus de jupes et pantacourts pour les femmes, et de jeans et tee shirt pour les hommes. Je fus immédiatement soulagée de voir qu'il s'agissait de gens normaux, et non pas de personnes hauts-placées comme je l'avais imaginé, et je décidai même de garder la petite robe chinoise noire à motifs rouges que je portais et qui était tout a fait convenable pour l’occasion. Je rajoutai juste des bas dim up couleur chair. Mais pourtant je n'étais pas tout à fait tranquille. En quoi ces personnes étaient elles un "peu spéciales"?

Le repas se passa de façon très agréable. J'avais par miracle réussis tous mes plats, que j'avais agrémentés d'épices et de petites choses trouvées ici et là dans les placards de la cuisine. Même mon soufflé au chocolat, que je tentais pour la première fois, resta léger et ne s'affaissa pas. J'étais plutôt fière de moi! Lorsque j'eus fini de débarrasser la table et fais et rangé la vaisselle, je retournai au salon et m'arrêtai subitement sur le pas de la porte, stupéfaite. Je sentis mon sang quitter mon visage, et dus presque me retenir au chambranle pour ne pas tomber au sol.

Les invités de mon Maître s'étaient changés. Les hommes arboraient une tenue entièrement de cuir noir, ainsi que des grosses chaussures, noire également, à talons de métal. A genoux à leurs pieds, les femmes portaient toutes un corset de vinyle noir lacé d’où brillaient des chaînes argentées. Leurs poignets et leurs chevilles étaient ceints d'épais bracelets cloutés, assortis au collier qu'elles avaient autour du cou. Les mains tenant leur chevilles, elle gardaient la tête baissée et ne me regardèrent même pas lorsque j'entrai. Devant elles trônaient trois gros sacs noirs dont je n'eus aucun mal a deviner la contenance. Oh seigneur! Nos invités n'étaient autres que des Maîtres accompagnés de leur soumise!

Le cœur battant à tout rompre, je regardai mon Maître, cherchant à comprendre ce que tout cela voulait dire. Pourquoi n'avoir rien dit? Pourquoi m'avoir fait croire qu'ils étaient des gens ordinaires? Etait ce une épreuve que je devais passer? En quoi consistait t'elle? Avais je fais quelque chose de mal? Peut être étaient ils là pour me punir? Mais quelle faute aurais je pu commettre pour avoir une telle attention ?

Quand je me remémorais la façon dont j’avais plaisanté avec eux, durant le repas, tout en restant néanmoins correcte, le rouge me monta aux joues…

-    Avance, Offerte.

J'obéis, les jambes flageolantes, puis ne sachant que faire, je m'agenouillai à mon tour devant mon Maître et pris ma position, mains derrière la tête. Il ne m'avait pas dit de le faire mais je me voyais mal rester debout alors que seuls les Maîtres l'étaient.

-    C'est très bien, ma soumise. Je pense que tu as compris qui étaient Alain, Hervé et Philippe, ainsi que leur compagne. Je ne t'ai rien dit avant pour que tu restes toi-même. Tu t'en es sortie à merveille, comme d'habitude. Ton repas était excellent, tu as su te débrouiller avec ce que tu as acheté, sans que je te donne la moindre indication, et j'en ai été agréablement surpris. Nous nous sommes tous régalés. Je te félicite.

-    Merci Maître, murmurai je, sans pour autant me sentir rassurée.

-    Nos amis ont décidé de s'occuper de leur soumise, et se vont se rendre au Manoir. Toi, file te changer, je t'attend ici.

-    Mais, Maître, je…

-    Tu as cinq minutes, me coupa t'Il en fronçant les sourcils.

-    Très bien, Maître.

J'étais consternée. Il savait que je n'avais aucune tenue de soumission, nous n'en avions jamais utilisé. Comment allais je faire ?

Je montai dans ma chambre, tenter de trouver quelque chose qui pourrait faire l'affaire, lorsque je me rendis compte que ma robe blanche avait disparue de sur mon lit. A la place se trouvait le même corset que celui des autres soumises, ainsi que mon collier et mes bracelets. Rassurée, je m'habillai en vitesse et redescendit rejoindre mon Maître.

-    Quatre minutes, fit Il en regardant sa montre. Bravo. A genoux maintenant.

Encore une fois j'obéis. Il passa ma laisse dans la boucle du collier et je dus descendre à quatre pattes jusqu'à la salle de correction. A genoux le long du mur, les soumises gardaient toujours la tête baissée. Leurs Maîtres bavardaient tranquillement entre eux de l'autre coté de la salle, comme si elles n'existaient pas.

- Nos invités sont ici afin de corriger leur soumise, m'expliqua mon Maître. Chacune d'elle va venir au centre de la pièce, et avouera les erreurs qu'elle a commis cette semaine. Elle entendra alors la sentence de la punition qu'elle a méritée. Tu es là en tant que spectatrice et tu vas avoir l’honneur d’assister aux corrections qu'elles vont recevoir. Tu as compris?

-       Oui Maître. Merci Maître, répondis je tout en me disant que c’était loin d’être un honneur pour moi mais plus un supplice…

-         Très bien. Messieurs, vous pouvez commencer.

-         Aurore, appela l'un des Maîtres, Hervé.

La soumise du milieu se leva, s'approcha de nous.

-         J'ai menti à mon Maître, dit t'elle à voix basse. Je…

-         Plus fort!

-         J'ai menti à mon Maître pour éviter d'être punie, répéta t'elle plus distinctement. Il m'avait donné une commande à faire et j'ai oublié de prendre un produit, alors j'ai dis qu'ils ne l'avaient plus en rayon. Pardon, mon Maître.

Les Maître, assis derrière une tables, concertèrent quelques minutes a voix basse. Je ne voyais pas le visage d'Aurore, mais je sentais qu'elle était a la fois impatiente et effrayée.

-    Cire, et poids sur les lèvres et les seins durant vingt minutes, suspendue par les poignets, lança enfin Hervé. Ensuite tu subiras 5 refus d’orgasme.

-         Merci Maître.

Aurore se releva, s'inclina puis retourna s'agenouiller a coté des deux autres soumises, Magali fut appelée à son tour par Philippe.

-         J'ai égaré et mélangé des papiers importants de mon Maître, par mégarde, en rangeant son bureau, je suis rentrée trois fois en retard cette semaine et j'ai été surprise en train de fouiller dans les placards à nourriture en dehors des repas, alors que ça m'est interdit.

A nouveau les Maîtres discutèrent entre eux de la correction que Magali allait recevoir, puis Philippe se leva.

-         Très bien. Nous avons décidé que tu subirais une dilatation vaginale, puis anale avant de recevoir vingt coups de martinet. Ensuite, comme Aurore, tu subiras 3 refus d’orgasme.

Magali pâlit sous la sentence de son Maitre, et je dus avoir la même réaction. Le fist… c'était une pratique qui demeurait dans mes limites, et que je ne voulais pas tenter. Et je fus surprise. Mon dieu, quelles punitions sévères! Etaient elles donc si masochistes pour accepter et aimer de telles pratiques ? Mais la plus dure devait être la dernière, autant pour la soumise que pour moi-même...

A son tour Katy se présenta devant les Maîtres, mais contrairement aux autres elle leva la tête et parcouru l'assemblée du regard.

-         J'ai volé mon Maître, j'ai refusé de faire ce qu’Il m’ordonnait et je lui ai répondu.

Magali et Aurore eurent un murmure de réprobation que mon Maître fit taire d'un coup de cravache sur la table. Mes yeux s'agrandirent. Il n'y avait aucun remord dans la voix de Katy, mais du défi et beaucoup d'insolence. Les Maître eurent beaucoup de mal à trouver une punition digne de ce nom, mais au bout d'un long moment, Alain, son Maître se leva.

-       20 coups de ceinture sur la plante des pieds, et 50 coups de badine sur les fesses, énonça t'il avec lenteur. Tu vas perdre ce ton arrogant, c'est moi qui te le dis!

Je frémis. J'aurais voulu être ailleurs. Je ne voulais pas assister à ces punitions et regardai mon Maitre d’un air suppliant. Oh comme j’aurais souhaité qu’il me dise de remonter, que finalement, j’étais exemptée de ce spectacle ! Au lieu de cela il m’ordonna de m’agenouiller aux cotés des trois soumises, et les punitions débutèrent.

Aurore du retirer son body, s'allonger au sol, les main derrière la tête, les cuisses écartées, et subit le supplice de la cire, sur les seins, le ventre et le pubis, en pleurant et gémissant sous les gouttes brûlantes qui coulaient sur son corps. Puis elle fut attachée debout, bras en croix, le corps encore constellé de gouttes rouges. Des pinces papillons chromées reliées par une chaîne mordirent ses tétons, d'autres en bois, pincèrent la peau tendre des seins puis ce fut ses lèvres intimes qui furent étirées. Quatre poids coniques s'accrochèrent aux chaînes, et lorsqu'elle fut suspendue en l'air par les poignets, les pieds à vingt centimètres du sol, elle se remit à pleurer en silence. De temps en temps, Maître Hervé venait jouer avec les boules de plombs, afin d'augmenter la douleur, et malgré cela elle demeura trempée et excitée du début de sa punition jusqu'à la fin, comme le signala son Maitre, non sans une certaine fierté. Mais lorsque la dernière partie de sa punition arriva, elle se mordit la lèvre. Elle supporta les deux premiers refus d’orgasme, mais gémis, cria et hurla pour les trois derniers. Une sixième fois, Hervé se mit à agacer son clitoris, avec sa bouche cette fois, la laissa jouir cette fois ci, et un long râle rauque raisonna dans la pièce tandis que son corps de cabrait de jouissance tandis qu’une giclée de liquide coula au sol. Aussitôt je sentis mon sexe fondre et couler de désir, mes seins gonfler, mon ventre se contracter et je retins avec peine un gémissement tandis que le sang me montait au visage. J’étais excitée au possible. Aurore était une femme fontaine !

Lorsque Aurore eut reprit sa place à coté de nous, Magali s'allongea à son tour au centre de la pièce, je détournai le regard, mais mon Maître le vit, et m'obligea, sous peine d'être punie, à regarder ma compagne hurler, d’abord de douleur, puis de plaisir sous la main entière qui la fouillait sans ménagement. On du lui attacher les poignets pour l'empêcher de tenter de se libérer. Et lorsque le poing ganté de latex de Maitre Philippe força son anus et malgré le plaisir manifeste que Magali ressentait, je sortis brutalement du Manoir pour me rendre à la salle de bain. Mon Maître me trouva devant le lavabo, les joues baignées de larmes. Il me laissa le temps de me rafraîchir, puis m'annonça froidement que je serai punie et me ramena de force en bas, ou Magali, à quatre pattes et les reins cambrés, recevait maintenant en pleurant ses vingt vigoureux coups de martinet. Mon excitation remonta d’un coup lorsque, tout comme Aurore, après ses trois frustrations elle explosa de plaisir sous les doigts de son Maitre qui s’agitaient en elle.

Katy elle, fut étendue, nue et à plat ventre sur un banc de bois, posé au milieu de la pièce. Ses pieds avaient été relevés, ses épaules et ses mains soigneusement liées et fixées aux pieds du banc. Mon Maître se dirigea vers ses amis, leur chuchota quelques mots, et les trois Maîtres hochèrent la tête en signe d'assentiment. Aurore, Magali et moi reçûmes l'ordre de nous approcher et nous agenouiller de chaque coté de Katy de façon à mieux voir ce qui se passait. Nous fûmes aussi chargées de compter les coups. Personnellement, je n’étais pas du tout désolée pour elle, elle méritait vraiment d’être punie.

Maître Alain détacha sa ceinture et fouetta sans ménagement la plante de ses pieds. Katy ne broncha pas une seule fois, ni ne tressaillit et j’en fus stupéfaite. Si ça avait été moi, toute la ville m’aurait entendue…

Puis il se saisit de la badine, longue et fine, d'une main décidée, la plia pour en tester la souplesse, et leva le bras. Le premier coup tomba dans un claquement bref, presque aussitôt une longue marque rouge apparut en travers de ses fesses. Katy ne poussa qu'un faible gémissement, et pourtant son Maître n'y allait pas de main morte!

Rapidement, les coups tombèrent, toujours aussi forts. Les marques rougissaient, se multipliaient, gonflaient, devenaient rouges, puis violettes. Katy pleurait maintenant à chaudes larmes, rugissant sous chaque coup, et je n'étais pas loin de faire la même chose. La punition cessa à 40. Qu'est ce que cela voulait dire? Maître Alain avait bien dit 50 coups…

-    Offerte, debout.

Je lançai un rapide coup d'œil à mes compagnes, toutes aussi intriguées que moi, puis obéis.

-    Oui Maître.

Avec surprise, je vis Maître Alain me tendre la badine et je compris immédiatement. C'était ma punition de devoir terminer celle de Katy.

Je m'approchai en tremblant, le terrible instrument dans la main. Je regardai Katy, ses larmes, puis ses fesses si sévèrement marquées qu'elle en garderait sûrement la trace durant plusieurs semaines.

-    Vas y, m'ordonna mon Maître.

Je levai le bras, puis ne bougeai plus. Je ne pouvais pas, c'était impossible. Je ne pouvais pas faire cela. Malgré le peu d’estime que j’avais pour elle, j’étais incapable de faire ce qu’on m’ordonnait.

-    Allez, dépêche toi! s'impatienta Maître Alain avec irritation. Qu'est ce que tu attends? On ne va pas y passer la nuit!

-    Non… gémis je.

-    Comment ça, non?

-    Je ne peux pas.

Je laissai tomber la badine au sol et reculai vivement. Puis je secouai la tête et fondis en larmes devant le regard effaré de mes compagnes.

-    Je ne peux pas!

-    Tu refuses d'obéir, ignoble petite putain? lança mon Maître d'une voix menaçante qui trahissait une colère grandissante.

-    Non… Seulement…

Il se leva, contourna la table et fondit sur moi. Il me saisit par les cheveux, secoua vivement ma tête, puis me rapprocha du banc. Je tentai de me dégager, mais Il me tordit violemment le bras dans le dos et je poussai un cri de douleur. Je compris que j’avais réellement dépassé les bornes, que mon Maitre était vraiment furieux contre moi et que j’allais le payer très cher.

-    Tu refuses de m'obéir ! Pour la seconde fois de la soirée tu oses, toi, chienne insignifiante, défier mon autorité! Tu rejettes ta punition ! Soit. Alain, détache ta soumise. C'est la mienne qui recevra la fin de sa correction. Et surtout, ne la ménage pas.

Son regard brillait d’une lueur dangereuse, sa voix, pourtant calme, me fit frissonner de terreur. Son appellation me blessa profondément. Chienne insignifiante… Il devait être vraiment en colère après moi pour m’appeler ainsi !

Je fus traînée de force au banc, désormais libre. Katy quant à elle, se retrouva a genoux contre un mur, montrant à tout le monde l’état de ses fesses tuméfiées. Morte d’angoisse à l’idée de recevoir la même correction qu’elle, je hurlai, suppliai, me débattis, mais mon Maitre était plus fort que moi et je me retrouvai à mon tour jetée sur le banc et solidement attachée par des liens qui se resserraient au moindre mouvement.

- Cinq de plus pour ton cirque ! ordonna t’Il d’une voix dure, en se plaçant devant moi, bras croisés.

Le premier coup me coupa le souffle. Une douleur aigue me traversa, incendiant mes fesses. Je me cambrai, mugit sous l'impact, battit des pieds contre le banc. Le second fut tout aussi dur, ainsi que tous les autres. La douleur ne s'estompait pas entre deux coups, au contraire, elle enflait de façon terrible, irradiant mes fesses de toute sa puissance. Je suppliai mon Maitre de me pardonner, j’implorai sa pitié, sa clémence, mais rien n’y fis, Il resta sourd à mes implorations. Je savais que lorsqu’une punition était décidée, elle devait être infligée jusqu’au bout, et je reçus mes quinze coups de badine, sévèrement appliqués. Magali et Aurore avaient les yeux remplis de larmes et luttaient pour ne pas venir me réconforter, risquant d’être de nouveau punies.

Un peu plus tard, lorsqu’on m’eut détachée et que la séance fut terminée, je passai devant le grand miroir du manoir, et je vis que mes fesses étaient presque aussi marquées que celles de Katy. Tout comme elle, j’en garderai sûrement la trace plusieurs semaines.

quand les Maîtres et leur soumise quittèrent le Manoir et remontèrent au salon, je fus enfermée à double tour dans la cellule de punition, signe que j’avais profondément déçu mon Maitre. Allongée en chien de fusil sur le sol de pierre, je tentais tant bien que mal de me calmer, mais j’avais tellement mal que je ne pouvais que pleurer. Mes fesses me lançaient impitoyablement, à tel point que je ne parvenais même pas à les toucher.

Un peu plus tard, la porte de ma prison s’ouvrit, je devinai que mon Maitre était entré, mais je ne bougeai pas. Je continuai à pleurer, et commençai à me balancer doucement. Je ne réagis pas lorsqu’Il toucha mon épaule, ni lorsqu’Il me parla. J’étais tombée dans un espèce d’état catatonique, je m’étais enfermée dans une partie de mon esprit, ou rien ni personne ne pouvait me faire de mal. Je n’avais plus conscience de rien. Et je restai prostrée jusqu’au milieu de la journée du lendemain.

Lorsque je repris mes esprits, j’étais sans force, dans mon lit, allongée sur le ventre. Mes fesses nues étaient toujours sévèrement marquées, mais avaient été recouverte d’une crème apaisante, et n’étaient plus douloureuse que lorsque je les touchais ou que j’étais assise. Par contre, je n’allais toujours pas mieux moralement. Je me rendis compte que je n’acceptais pas la dureté de la punition que j’avais reçue. Je la trouvais injuste et injustifiée. Mais mon Maitre n’avait pas compris la raison de mon refus, Il avait cru à une insolence de ma part. C’était la première fois que je ressentais cela, que j’avais besoin de me rebeller contre une correction, bien que pour mon Maître elle eut été amplement méritée. Je n’aimais pas du tout cette impression, mais elle ne me quittait pas. Quoique je fasse, elle continuait à me poursuivre, a hanter mon esprit. Durant les jours qui suivirent, je restai silencieuse, le cœur lourd, obéissant aux ordres qui m’étaient donné, mais sans plus. Je savais qu’une mise au point s’imposait, que je ne pourrais pas rester très longtemps avec un tel poids dans la poitrine. Et pourtant je continuai a me taire, gardant ce que je ressentais au fond de moi, espérant que ça finirait par partir tout seul avec le temps. J’avais tellement peur de perdre mon Maitre, sa confiance et tout ce qu’il nous reliait, s’il apprenait ce qui me torturait !

Enfin, trois jours plus tard, jours durant lesquels Il m’observa et sembla attendre quelque chose de ma part, il finit par m’appeler dans son bureau.

-         Bon, maintenant je veux savoir ce qu’il se passe, attaqua t’il.

-         Rien. Tout va bien, Maitre.

Ma voix manquait de conviction, mon regard était fuyant. La tension entre mon Maitre et moi se corsa.

-           Ne me prend pas pour un idiot, Offerte ! je ne suis pas aveugle ! alors répond moi, m’ordonna t’il. Regarde moi et répond moi.

-           Que voulez vous que je vous réponde, explosai je. Vous savez très bien ce qu’il y a ! Pourquoi avez vous fait cela, l’autre jour ? Pourquoi m’avoir punie de cette manière alors que vous saviez que je ne pouvais pas faire ce que vous me disiez ? Pourquoi ne pas m’avoir prévenue de cette soirée ? Pourquoi m’avoir forcée à assister à ces punitions ?

Les larmes que je retenais tant bien que mal, débordèrent de mes yeux et roulèrent sur mes joues. Je les essuyais d’un geste rageur.

-         Pourquoi m’avez vous fait cela ? sanglotai je. Pourquoi ?!

Je m’effondrai complètement, tombai à genoux. Il vint me prendre dans ses bras, mais je me débattis.

-         Non ! Laissez moi. Lâchez moi…! Laissez moi… non…

Il me tenait fermement contre lui. Je continuai à hurler et pleurer, tentant de me dégager de son étreinte, puis mes forces m’abandonnèrent et je me laissais aller contre Lui.

-         Pourquoi… gémis je en hoquetant. Pourquoi exiger de… de moi ce que je… je ne peux pas vous… vous donner?

-           Tu pouvais le faire, Offerte. Tu pouvais le faire seulement tu t'es braquée, tu étais tellement persuadée que tu étais incapable de cela que ça t'a bloqué.

-         Comment savez vous ça?

-           Parce que je commence à te connaître, tout simplement. Je te vois avancer, évoluer. Je savais que tu en étais capable, que ça serait très dur pour toi, que cela exigerai un très gros effort, mais que tu pouvais le faire et c'est pour cela que j'ai choisi de te punir de cette manière. Je pensais que cela serait plus instructif que d'utiliser le martinet ou la cravache. Or tu m'as défié, tu as refusé une punition, Offerte, et ce devant d'autres personnes. Ton comportement aurait pu influencer les soumises de mes amis, qui auraient pu se rebeller à leur tour, je me devais de réagir, ne serait ce que pour leur montrer que tu n'es pas ménagée ou protégée par moi et qu'il était hors de question que je laisse passer une telle chose. Tu as refusé d'administrer la punition de ta collègue, c'est donc toi qui l'as reçue. Crois moi je me suis montré clément! J'aurais pu ordonner que tu subisses la même correction qu’elle plutôt que les dix derniers coups. Et si j'ai décidé d'organiser cette soirée, c'est pour te montrer que les Maîtres ne sont pas tous comme moi, que d'autres soumises peuvent être différentes de toi, aimer d'autres choses, d'autres pratiques, pour que tu vois le monde dans lequel tu évolues d'une autre manière que celui que je te fais découvrir. Je ne t'en ai pas parlé auparavant car je savais que cela t'aurait perturbé inutilement. Tu as trouvé la séance de l'autre jour dure, je peux t'affirmer que des corrections peuvent être pire encore! Certains Maîtres offrent ou vendent leurs soumises à d'autres dominateurs, et elles doivent faire tout ce qu'on leur dit, s'offrir sans un mot à plusieurs hommes en même temps sous peine d'être punie plus durement encore... Tu dois faire ce que je t'ordonne, Offerte, continua t'Il après un instant de silence, sans réfléchir, sans te poser de question, un point c'est tout. Tu dois avoir confiance en moi. Je le fais parce que je sais que tu en es capable. Si tu ne le fais pas, si tu refuses de m'obéir, alors tu assumes ton geste. Je ne te demandes rien que tu ne saurais ou ne pourrais faire, saches le. Je ne suis pas non plus pervers au point de chercher volontairement à te conduire à la faute pour avoir une raison de te punir, tu devrais le savoir.

-           Oui, je le sais, Maitre.

-           Et pourtant tu as douté de moi. Je n’aime pas cela, Offerte.

-           Moi non plus, Maitre.

Il me lança un long regard que je ne parvins pas à soutenir, puis quitta la pièce sans un mot. Il m’ignora tout le reste de la journée. Après le déjeuner, qui se passa sans le moindre mot, Il s’enferma dans son bureau, et n’en sortit que pour le dîner, qui fut tout aussi silencieux. Il se rendit au salon, sans me proposer de l’accompagner pour regarder un film avec Lui, ou bien pour discuter ou partager un jeu de société comme Il le faisait habituellement. Non. Il faisait comme si je n’existais pas. C’était un supplice pour moi, une véritable torture qui me broyait le cœur, me rendait malade, la pire des punitions qu’Il pouvait m’infliger. Même ma si terrible flagellation avait été plus facile a supporter. Pas un regard, pas une parole, rien qu’un silence glacial qui commençait à me peser.

Aussi lorsque j’eus fini la vaisselle, je quittai la maison sans prévenir. J’avais besoin de marcher. Mes pas me portèrent à un parc désert et j’allais précautionneusement m’asseoir sur une balançoire haute où je passais un long moment a réfléchir. Il se mit à pleuvoir, la température chuta de plusieurs degrés, mais je ne bougeai pas. Une bonne odeur de pluie se répandit autour de moi et j’inspirais profondément. Et finalement, je dus m'avouer qu'Il avait raison. Il était beaucoup plus grave de refuser une punition qu'un ordre, et mon geste aurait pu avoir des répercutions sur mes amies et sur leur comportement. Et puis si j'avais été au courant plus tôt de la séance qu'Il préparait, ça m'aurait travaillé, je n'aurais pas cessé d'y penser, d'imaginer ce qui allait bien pouvoir se passer… c'est moi qui avait tort. J'avais été injuste envers mon Maître. Il fallait qu'Il sache, il fallait que je…

Une main sur mon bras me tira de mes pensées et je poussais un hurlement. Devant moi, en contre-jour, se tenait un homme que je ne reconnu pas tout de suite. Cette pression sur mon bras…. Sans un mot Il s’assit près de moi sur le banc trempé, et je me blottis contre Lui. Nous n’échangeâmes pas un mot jusqu’au moment ou Il se leva.

-         Rentrons, dit Il simplement.

Arrivés à la maison, je me tournais vers Lui.

-         Pardon, Mai… Maitre. je suis dé… désolée, je ne…

J’étais frigorifiée, secouée de frissons dans mes vêtements mouillés.

-         Je sais.

-         Je…

-         Chut… tais toi.

Je montai me changer, et Il me suivit. Il sortit une grande serviette et me sécha vigoureusement. Je Le laissais me manipuler, me frotter les bras, les cuisses le ventre, les seins, les cheveux. Mes dents cessèrent de claquer, je ne tremblais plus. Une vague brûlante de désir m’envahit… Etre contre Lui, entre ses mains puissantes, ces mains qui pouvaient me faire si mal, puis tellement de bien l’instant d’après, qui savaient être si dures et si tendre à la fois… Puis Il se dévêtit à son tour, et je pris la serviette pour envelopper son grand corps. Il me tendit un de ses peignoirs et je m’y glissait avec délice tandis qu’Il enfilait le sien. Il était beaucoup trop grand pour moi, mais je m’y sentais bien.

Nous descendîmes au salon, et sans qu’il ne me l’ai demandé, j’allais nous préparer une grande tasse de thé parfumé. Le liquide brûlant glissa en moi et réchauffa agréablement mon corps. Je le savourai, buvant à petite gorgées, le laissant s’insinuer en moi. Bientôt une chaleur apaisante monta en moi, je posais ma tasse et sentis mes yeux se fermer.

Je sentis à peine mon Maitre me prendre dans ses bras pour me porter dans le lit. Et blottie contre lui dans la chaleur de ses bras, je m’endormie avec la pensée agréable de savoir que j’étais pardonnée…
Par M_Offerte - Publié dans : Textes SM
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Lundi 10 juillet 1 10 /07 /Juil 20:22

Cela faisait près de deux heures que mon Maître se trouvait sur l'ordinateur, dans son bureau. J'avais hâte qu'il en sorte, car je m'ennuyais ferme. Il n'y avait rien à faire. Il pleuvait à verse depuis deux jours, nous empêchant de sortir, la télé ne proposait rien d'intéressant et je tournais en rond dans la maison. Même mes livres, pourtant nombreux ne m'attiraient pas.

Enfin la porte s'ouvrit, et mon Maître m'appela. Je me précipitai vers lui.

-       Oui, Maître.

-       Je viens de trouver de nouveaux fichiers, contenant des textes, des photos, des dessins et des vidéos. Il y a aussi des liens, ou tu puiseras toi-même ce que tu veux garder. Tu les trieras, les classeras et les rangeras, comme je te l'ai montré la dernière fois. Si jamais je trouve des erreurs, tu seras punie, tu m'as compris?

-       Oui Maître.

-       Très bien. Alors vas y,. je viendrais voir dans un moment comment tu t'en sors.

Sur ce, Il monta l'escalier, me laissant seule. J'ôtai mes vêtement, je savais qu'Il aimait que je sois nue lorsque j'ai un travail à accomplir, lançai un CD de musique qui me plaisait et m'attaquai à ma tache.

Je perdis du temps à regarder les films et les photos. Certaines étaient vraiment magnifiques d'esthétisme, d'autres par contre très dures a regarder. Les heures défilèrent, sans que je ne les voie passer, je me laissais distraire par la vision des images. Mon esprit était plus attentif à ce que je voyais qu'au travail que j'effectuais, et lorsque mon Maître revint, je n'avais pas beaucoup avancé dans mon tri et mon classement. Par contre j'avais écumé presque tous les fichiers qu'Il avait trouvés. Quand la porte s'ouvrit je me levai d'un bond. Son regard parcourut brièvement mon corps nu, puis Il s'approcha de l'ordinateur, posa sa cravache, que je n'avais pas vue, sur le bureau et pris ma place dans le fauteuil. Il travailla quelques instant en silence puis se leva.

-           Je ne sais pas ce qui s'est passé mais tu as fait n'importe quoi! Cela fait une heure et demie que je t'ai quitté, tu as à peine rangé trois dossiers. Et dans le peu que tu as fait, tu as mélangé des photographes et il y a un récit dans les dessins! C'est inadmissible!

-           Je vous demande pardon, Maître. Je…

-           Ferme là ! me coupa t’Il en frappant le plateau du bureau du plat de la main! Je ne veux rien savoir. Lorsque je t'ordonne de faire un travail, j'exige qu'il soit parfait, tu m'entends? Or ce que tu m'as fait là n'est ni fait ni à faire. Je ne le tolèrerai pas. Penche toi sur le bureau et cambre toi.

Je commençai à trembler lorsque je le vis prendre la cravache d'une main décidée. Cinq coups cinglèrent mes fesses sans douceur, et je retins mes cris à grand-peine.

-              Merci mon Maître. Je ne recommencerai pas, je vous le promets.

-              Il y a intérêt, salope, sinon la punition sera plus forte encore. Maintenant file au coin, à genoux et mains contre le mur, et tend ta croupe que je puisse y voir la correction que je viens de te donner.

Je ne répondis rien, et commencerai à obéir lorsqu'un nouveau coup s'abattit sèchement sur le bas de mes reins, me faisant sursauter.

-    Aiiiie! Oui Maître. Pardon…

J'allais me positionner dans un coin de la pièce, présentant ma croupe marquée au regard de mon Maître, qui s'installa confortablement dans le canapé du salon. Je savais qu'Il me voyait parfaitement de là ou Il se trouvait, et le poids de son regard me pesa tout le long de la punition, qui dura une bonne demie heure.

-       Offerte, viens ici.

-       Oui, Maître.

Docilement, à quatre pattes, je m'avançai vers lui, me redressai à genoux et posai mes mains sur ses cuisses. Du doigt il me montra son pantalon et je compris immédiatement ce qu'il voulait. Déboutonnant sa braguette, je sortis son sexe et entrepris de le faire durcir entre mes lèvres. Ma langue virevoltait avec agilité le long de sa hampe et très rapidement il fut long et ferme, gorgé de désir dans ma bouche. Pendant que je le suçai, Il se pencha et assena quelques claques cuisantes sur mes fesses déjà douloureuses, puis sortant son sexe de ma bouche, me fit m'allonger à plat ventre sur ses genoux. Il me fessa longuement, plus ou moins fort, tenant fermement mes mains dans la sienne. La douleur était gérable, les coups n'étaient pas assez puissants pour faire vraiment mal. Un doigt glissé entre mes cuisses l'informa sur l'état d'excitation dans lequel Il me mettait. J'étais littéralement trempée, brûlante. Son doigt entra en moi, me faisant me cambrer en gémissant, puis se retira presque aussitôt.

-    Allonge toi devant moi, par terre, sur le dos, cuisses écartées.

-    Oui Maître.

Je me couchai au sol, sur le carrelage glacé, ce qui eu pour effet de faire dresser mes tétons et me donner la chair de poule.

-       Maintenant, caresse toi. Et regarde moi pendant que tu le fais.

-       Oui Maître.

Au bout de quelques minutes, Il se leva sans un mot et quitta la pièce. Après un instant d'hésitation, je décidai de continuer à me caresser. Il ne m'avait pas dit de cesser. Il revint avec deux pinces à linge en bois, qu'Il posa sur mes tétons, puis retourna s'asseoir. Le mélange de plaisir et de douleur que me procuraient les pinces augmenta mon excitation. Le sexe de mon Maître était toujours aussi dur, je ne pus m'empêcher de poser les yeux dessus, avec l'envie de le sentir à nouveau dans ma bouche, de lui donner encore du plaisir. Il lu dans mes pensées, car Il s'agenouilla devant moi et me présenta son membre sur lequel je me jetai avidement. Mon empressement le fit rire et Il caressa mes cheveux. Il commença un lent va et vient entre mes lèvres tandis que je continuai à me caresser. Ses yeux étaient plongés dans les miens, il pouvait y lire tout ce que je ressentais pour Lui. Quant à lui, Il m'encourageait a continuer à nous donner du plaisir. Ma main droite vint enserrer sa queue sensible et accompagna ses mouvements de reins. Je sentis monter mon plaisir, de plus en plus. Mon souffle se fit saccadé, s'accéléra.

-       Vas y, grogna t'Il. Plus fort! Caresse toi plus fort!

J'obéis tout en essayant de retenir mon plaisir, mais en vain. Au moment ou l'orgasme me submergea et ou je jouis dans un long cri, mon Maître se retira et déchargea en même temps que moi, sur mes seins et mon ventre.

Ma tête retomba sur le sol, ma main gauche quitta mon corps secoué de soubresauts de plaisir. quelques instant à peine plus tard, les pinces se rappelèrent à mon bon souvenir. Maintenant que j'avais joui, elles étaient beaucoup plus douloureuses à supporter, l’orgasme ayant rendu mes tétons nettement plus sensibles. Il les retira délicatement, massa doucement mes pointes torturées, m'arrachant un gémissement de douleur. Puis il me prit dans ses bras, et m'embrassa tendrement sur le front…
Par M_Offerte - Publié dans : Textes SM
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Samedi 24 juin 6 24 /06 /Juin 20:29
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Samedi 24 juin 6 24 /06 /Juin 20:28


J'adore ce dessins, qui m'excite fortement...
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Samedi 24 juin 6 24 /06 /Juin 20:27
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Samedi 24 juin 6 24 /06 /Juin 20:24

J'adore ce dessin. j'adore etre aveuglée, ainsi que porter mon collier...
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Samedi 24 juin 6 24 /06 /Juin 20:23
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Samedi 24 juin 6 24 /06 /Juin 20:22
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Samedi 24 juin 6 24 /06 /Juin 20:20
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