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Lundi 12 juin 1 12 /06 /Juin 18:49

Oh seigneur! 20h30!

Mon Maitre donnait une petite réception en mon honneur afin de me présenter a quelques un de ses amis et je devais y être pour 20h45. J'allais être inéluctablement en retard car il me fallait vingt minutes pour arriver chez Lui.

Je bondis hors de mon bain, dans lequel je m'étais assoupie, me séchai et m'habillai en un temps record. Des bas retenus par des porte jarretelle noir, sans culotte, un soutien gorge en fine dentelle noire (mon Maitre m'avait aimablement permis de porter ce genre de sous vêtements, sachant que rester sans soutien-gorge rendait mes seins terriblement douloureux). Un joli tailleur jupe chocolat, un débardeur a décolleté de dentelle rouge, et mes escarpins à hauts talons. Je fixais deux barrettes discrètes dans mes cheveux, vaporisai une touche de parfum dans mon cou et sur l'intérieur de mes poignets, puis attrapai mon sac, assorti a mon tailleur et filai en toute hâte. Comble de malchance, ma voiture refusa de démarrer, et prise de panique, appelai un taxi. Lorsqu'enfin j'arrivais, j'avais une bonne demie heure de retard. Mon Maitre allait être fou de rage. J'eus a peine le temps de sonner que la porte s'ouvrit.

-    Offerte! Enfin te voila!

Le ton chaleureux contrastait fortement avec le regard dont Il me couvrit. Un regard furieux, glacial. Il m'embrassa furtivement, puis me glissa à l'oreille.

-       Dis bonjour à tout le monde, puis va immédiatement à la cuisine. Je te rejoins.

-       Oui Maitre, murmurai je de façon à n'être entendue que de Lui.

Mon cœur battait à tout rompre, le sang se retira de mes joues. Je n'eus pas le temps d'en dire plus, les invités arrivèrent dans le couloir. Trois hommes et deux femmes m'attendaient avec impatience.

-       Voila enfin celle que nous attendions, s'exclama une des femmes, blonde aux cheveux coupés au carré en me tendant la main. Bonsoir, ma chère, je suis Annie. Je suis très heureuse de faire enfin votre connaissance. L m'a tellement parlé de vous!

-       Bonsoir, mad… Annie, répondis je en souriant.

Tout le monde se présenta, puis comme me l'avait ordonné mon Maitre, je filais a la cuisine après avoir proféré avec peine une vague excuse.

Un instant plus tard la porte se refermait derrière moi. Mon Maître agrippa mes cheveux à pleine main et les tordis douloureusement.

-       Tais toi, putain. Ne crie pas! Alors comme ça mademoiselle se prend pour une princesse? Mademoiselle croit pouvoir faire attendre son monde?

-       Non… je…

-       Ferme là, gronda t'Il d'une voix sourde en tirant violemment la poignée de cheveux qu'Il avait a la main. Tu accumules les erreurs ce soir. D'abord je n'aime pas ce parfum, ensuite tu as oublié de mettre tes boucles d'oreilles, tu arrives avec une demie heure de retard, et tu te permets encore, après tout cela de me répondre. Je vais t'apprendre les bonnes manières, a commencer par la ponctualité. Prend ça, et va immédiatement a la salle de bain. Débrouilles toi comme tu veux, mais je veux que d'ici cinq minutes tu sois revenu avec le cul rempli. Tu reviendras à la cuisine et je vérifierai si tu as bien fait ce que je t'ai ordonné. Dépêche toi, cinq minutes, pas une de plus.

Il me fourra dans la main un énorme objet, froid et lisse et ouvrant les doigts je découvrit avec horreur un rosebud d'une taille impressionnante. Mon dieu, comment allais je faire? C'était beaucoup trop gros! Mais je savais qu'aucune protestation ne Le ferait changer d'avis. Aussi, j'obéis sans mot dire.

Arrivée à la salle de bain, je cherchai fébrilement du lubrifiant afin de faciliter l'insertion du plug dans mon anus mais je ne trouvais rien du tout. Alors je l'enduisis copieusement de salive, relevai ma jupe et tentai de m'empaler sur le pieu de métal. Au début je n'eus pas trop mal, mais sans préparation, la dilatation commença a devenir de plus en plus douloureuse. J'avais l'impression que mon œillet se déchirait, mais courageusement, je continuais. Lorsque le rosebud fut enfin fiché au plus profond de moi, j'étais rouge et toute transpirante. La sensation était des plus désagréable, mais mon sexe lui, était trempé. Je me rafraîchis rapidement et allais retrouver mon Maitre à la cuisine.

-    Huit minutes. J'avais dis cinq, fit il d'une voix sévère. De nouveau en retard apparemment. Pose tes mains sur la table, recule et écarte les pieds et montre moi ton travail.

J'obéis, relevai une nouvelle fois ma jupe et me penchai au dessus de la table. Sans douceur il écarta mes fesses, et admira le rubis qui brillait insolemment entre elles. Puis un coup sec, que je n'attendais pas me fit gémir. Je ne savais pas de quoi il s'agissait, mais c'était assez douloureux.

-    Ta gueule, salope. Souffre en silence.

Un second puis un troisième s'écrasèrent durement sur ma croupe tendue et je serrai les dents pour ne pas crier. Lorsque je me redressai, je vis que mon Maitre tenait à la main une cuillère en bois, qu'il posa sur le plan de travail.

-    Trois minutes, trois coups. Mais ceci n'est rien comparé à ce que tu recevras quand mes invités seront partis, putain. Maintenant vas les rejoindre, et surtout qu'ils ne se doutent pas de ce qu'il vient de se passer.

-    Oui Maitre.

J'avais du mal a marcher, entravée comme je l'étais, mais je fis tout mon possible pour sembler naturelle.

Assise au milieu des amis de mon Maitre, je répondis à toutes leur question et peu a peu je me sentis plus a l'aise, plus détendue. Mon Maitre était calme, charmant et attentif et je passais, somme toute une très agréable soirée, à tel point que j’en oubliai le rosebud qui me remplissait les entrailles. Seul un petit incident perturba la soirée. Au cours du repas, j'eus un mouvement brusque pour rattraper une cuillère qui tombait au sol, et je renversai mon verre d'eau sur la nappe blanche. Fort heureusement, il était presque vide, mais je savais que j'allais payer cher ma maladresse.

A la fin du repas, malgré notre refus, à mon Maitre et moi, Annie et Patricia insistèrent pour m'aider à faire la vaisselle.

- Les hommes ensemble au salon et les femmes a la cuisine, déclara Patricia sur un ton qui nous fit tous éclater de rire.

Et sans me laisser le temps de protester, elles me saisirent chacune par un bras et m'entraînèrent a la cuisine. D'autorité Annie se saisit de l'éponge, Patricia du torchon et je fus chargée de ranger la vaisselle propre. Elles me racontèrent des blagues et des anecdotes qui me firent me tordre littéralement de rire. Nous restâmes un long moment dans la cuisine, a discuter de tout et de rien, même après avoir fini notre vaisselle. Et puis il fut l’heure de se dire au revoir. Nos invités quittèrent la maison, après nous avoir fait promettre de refaire prochainement une nouvelle soirée.

- Ta protégée est un vrai chou, L, fit Annie. Je suis contente que tu me l’ai présentée.

Une fois la porte refermée, mon Maitre se retourna vers moi et immédiatement je baissai les yeux au sol.

-    As tu passé une bonne soirée, Offerte ?

-    Oh oui mon Maitre ! m’écriais je avec enthousiasme, oubliant toute réserve. Je me suis beaucoup amusée. Vos amis sont formidables, je les aime beaucoup ! je vous remercie du fond du cœur d’avoir organisé cette si bonne soirée, mon Maitre !

-    J’en suis content, Offerte. Mais maintenant le jeu est terminé. Tu sais ce que cela veut dire ?

-    Oui Maitre, en retrouvant subitement tout mon sérieux.

-    Va dans la chambre et met toi à genoux sur le lit, mains derrière la tête, cul cambré et offert.

Je restai un moment seule sur le lit, dans la position qu’Il m’avait ordonné de prendre. Puis la porte s’ouvrit, se referma. Je me redressais légèrement. Un coup sévère lacéra mon derrière et je poussais un cri. J’avais reconnu la morsure de la cravache.

« Ne bouge pas ! garde la position ! ne bouge pas ! »

Aussitôt je replaquai mon visage sur le drap.

Je sentis les doigts chaud de mon Maitre s’aventurer entre mes fesses et saisir le rosebud. Le geste me fit mal et instinctivement je tentais de me libérer en avançant mon bassin. Aussitôt une série de claques sonore s’abattit sur mes fesses et les fit rougir rapidement.

-    Mais ce n’est pas possible ! Quand je te dis de ne pas bouger tu ne bouges pas ! C’EST CLAIR ? maintenant cambre toi. Et si tu rebouges une seule fois…

La menace était claire. Le retrait du plug fut douloureux mais une fois retiré je me sentis soudain libérée.

-    Ecarte ton cul avec tes main, salope. Montre moi comme il est bien ouvert.

J’essayais, mais un reste de pudeur m’en empêcha.

Il saisit mes cheveux et tira fortement une nouvelle fois. Mon cuir chevelu déjà douloureux du début de soirée se rappela a mon bon souvenir.

-    Tu désobéis ? Te rappelles tu de ton châtiment la dernière fois que tu n’a pas exécuté un de mes ordres ? Durant combien de temps as tu eu les marques ? Durant combien de temps ai je du mettre un coussin sous ton cul de salope pour que tu puisses t’asseoir sans avoir mal ? Tu veux que je recommence ?

-    Non… geignis je avant de me mettre à pleurer.

La cravache frappa trois fois mes fesses, incendiant a nouveau mes globes déjà si sensibles.

-    Aiiiie ! hurlais je. Non, Maitre…

Je redoublais en sanglot. J’étais perdue, tout allait trop vite, je n’avais pas le temps d’assimiler mes idées… mais abandonnant ma fierté, je fis ce qu’Il m’ordonnais.

-    Mmmh… si tu voyais ton cul, ma salope ! Tout rouge et marqué par ma cravache… Et ce petit trou… si ouvert… offert à mes yeux… et à ma queue…

Il prononçait à peine le dernier mot que je Le sentis prendre possession sans douceur de mes entrailles, et le temps que je réalise, Il était déjà tout au fond de moi, son bassin frappant contre mes fesses.

Il s’abattait en moi a toute vitesse, labourant mon ventre de ses profonds vas et vient, sortant presque de mon anus offert pour y retourner encore plus fortement. Petit à petit le plaisir se forma en moi, je cessai de pleurer, je commençai même a gémir et a onduler du bassin pour mieux m’offrir. J’aimais cette bestialité, cette violence, j’aimais sentir ses doigts s’enfoncer dans la peau de mes hanches, ou claquer durement mes fesses offertes tandis qu’Il me tenait fermement et me plaquait contre Lui afin donner plus de pouvoir a ses gestes.

Bientôt je me sentis venir, mais lorsque je le Lui dis, Il se laissa aller, ressortis de mon anus brusquement et éjacula sur mes fesses dans un râlement rauque.

-    Tu ne jouira pas, salope. Tu ne le mérite pas. Tu ne mérites même pas l’honneur que je décharge en toi. Maintenant étale ma semence sur ta croupe avec tes mains, puis reprend la position. Je n’en ai pas fini avec toi.

Il quitta la chambre. Je sentis distinctement sous mes doigts les traces gonflées de la cravache. Une fois que j’eus fini ma tache, je réalisais que mes mains étaient pleines de sperme. Je regardais autour de moi : la boite de mouchoir qui se trouvait sur la table de nuit n’y était plus, je ne pouvais pas m’essuyer… La porte se rouvrit, et je plaquais précipitamment mes mains sur ma tête. Tant pis pour mes cheveux propres.

Mon Maitre posa un coussin sur le lit, et m’ordonna de venir poser mon bassin dessus, afin de surélever mes fesses et de m’allonger complètement sur le lit. Mes mains furent attachées dans mon dos.

-    Si tu les poses sur tes fesses durant la punition, gare à toi, Offerte.

-    Oui Maitre.

-    Tout a l’heure, putain, je t’ai infligé trois coups, pour tes trois minutes de retard. En arrivant tu en avais trente. Sais tu ce que cela signifie ?

-    Que je vais recevoir trente coups ?

-    C’est bien, tu as compris. Si ça n’avais pas été le cas, tu en aurais reçu cinq de plus.

« Les dix premiers te seront donnés a main nue, reprit il après un instant de silence, dix par fesses. Les dix suivants au martinet, et les dix derniers à la cravache. Commencer doucement pour finir par le plus dur, tout comme ton retard qui, a chaque minute passée, devenait de plus en plus impardonnable. Ensuite, dans ta position de soumise, tu subiras les pinces durant dix minutes, pour avoir oublié tes boucles d’oreilles, et cinq minutes de plus pour ton parfum qui ne me plait pas.

-    Oui Maitre, répondis je avec docilité.

Je tentais de masquer mon angoisse, mais elle paraissait dans ma voix. Il posa la cravache et le martinet juste face a mes yeux, puis la punition commença. Une salve de claques s’abattit sur mes fesses avec une régularité mécanique, un coup à droite, un coup à gauche, prenant à chaque fois un peu plus de vigueur. Je serrai les dents, étouffant mes plaintes dans le drap, plantant mes ongles dans la paume de mes mains. Ma fessée était à peine terminée que déjà le martinet disparaissait de devant mes yeux, pour claquer douloureusement mes fesses. Une nouvelle fois je subis de mon mieux les dix coups de martinet et de cravache, qui furent beaucoup plus difficile à taire.

- A genoux, m’ordonna t’Il d’une voix sèche. Pose la tête sur le matelas et ne bouge plus.

Il caressa longuement mes fesses, puis alla s’installer dans un fauteuil, m’ordonnant de garder la position. Il était tard, je commençais a avoir sommeil et mal dans les bras. La pose n’était pas confortable, et en essayant de bouger un peu je perdis l’équilibre et m’affalai lourdement sur le coté. Aucun bruit n’accueillit ma chute. Maladroitement je réussis a me remettre à genoux, puis repliai mon buste sur le lit.

-       Pardon, Maitre.

Toujours aucun bruit. Un silence pesant s’abattit dans la pièce. Je n’osai pas bouger et restai ainsi ce qui me sembla des heures. Bientôt l’angoisse pointa en moi. Pourquoi me faisait Il attendre ainsi ?

-       Maitre ?

Pas de réponse. S’était Il endormi ? avait Il quitté la chambre sans que je ne m’en sois rendu compte ?

J’avais horreur de rester seule ainsi. Mais un bruissement attira mon attention. Ouf ! mon Maitre était toujours la et je me sentis brusquement rassurée.

-    Debout ! ordonna t’Il d’une voix sèche après m’avoir détaché les poignets. Déshabille toi, ne garde que les bas et les portes jarretelles, et vire moi tout le reste. Ensuite tu prendras ta position sur le lit.

-    Oui Maitre.

J’obéis et me dévêtis rapidement. Je grimpais de nouveau sur le lit, m’agenouillai et mis les mains derrière la tête. Puis je cambrai les reins, rentrai le ventre et attendis.

-    C’est bien. Tire un peu plus les bras en arrière. Voilà, comme ça.

Il prit deux pinces à linge sur la table de nuit et sans hésitation, les clippa sur mes tétons.

-    Je te les retire dans vingt minutes. Tu as gagné cinq minutes de plus pour n’avoir pas su tenir la position tout a l’heure. J’aurais pu te mettre plus, je l’aurais fais si tu ne t’étais pas corrigée de toi même immédiatement. Mais tu as été sérieuse. Le contraire m’aurait étonné, d’ailleurs.

Mon Maitre retourna dans son fauteuil et je restai immobile, tête baissée. Au début la douleur était supportable, mais à mesure que le temps passait, que mes tétons étaient mordus, elle devenais plus vive, plus lancinante. Ma respiration commença à s’accélérer puis se bloquer. Je me mordais les lèvres pour tenter de dévier un peu cette douleur, pour qu’elle ne soit plus uniquement centralisée sur mes seins.

-    Dix minutes, annonça mon Maitre d’une voix tranquille. Tu as presque terminé, Offerte.

Les dix minutes restantes furent une torture. J’avais oublié comme de simple pinces à linge pouvaient être douloureuse, surtout quand on restait immobile sans rien pour ne pas y penser. Le retrait fut tout aussi douloureux, les caresses pour calmer la douleur m’arrachèrent des larmes.

-    C’est bien, Offerte, je suis fier de toi, me dit mon Maitre en m’embrassant sur le front. Encore une fois tu m’as prouvé que je pouvais avoir confiance en toi et tu as enduré ta punition avec courage. De plus je dois t’avouer que tu m’a bluffé ce soir. Tu as été une hôtesse merveilleuse, sachant être drôle sans entrer dans la lourdeur, restant discrète, polie et naturelle. J’avais un peu peur que tu ne te montres un peu trop familière, mais non, je m’étais trompé. Tu t’es vite intégrée, avec une facilité qui m’a surpris. Mes invités t’ont tous appréciés, et crois moi pour qu’Annie réagisse comme ça, il fallait qu’elle t’apprécie. Tu mérites donc d’être récompensée. Mets toi à quatre pattes.

J’étais rouge de bonheur. Mon Maitre était content de moi, fier de moi. J’obéis en Le remerciant, mais eu un mouvement de recul lorsque je sentis son gland glisser entre mes lèvres.

-    Rassure toi, j’ai fais le nécessaire.

Il me pénétra doucement, puis une fois tout en moi, Il se pencha sur moi et m’embrassa doucement dans le cou. Il me fit l’amour avec une douceur, une tendresse qui me fit monter les larmes aux yeux. Ses mains courraient sur moi, caressaient mes seins, mon ventre, puis ses doigts se scotchèrent sur mon clitoris qu’Il titilla sans relâche.

Le plaisir montait doucement, prenait de l’ampleur, coulait dans mes veines comme une traînée de lave, envahissant chaque cellule de mon corps. Je commençai à soupirer, puis à gémir.

-    Tu peux crier si tu le veux, ma salope. Libère toi, montre moi comme tu aimes, comme c’est bon.

Alors je ne retins plus mes cris d’extase. Lorsqu’il sentit que j’allais jouir, il accéléra ses mouvements sur mon clitoris, ainsi que ses vas et viens et il éjacula au fond de moi au moment ou mon orgasme emportait les derniers vestiges de force qu’il me restait.

Je tombais sur le lit, yeux fermés et plongeai dans la torpeur. Je me trouvais dans un long tunnel blanc, au bout duquel se trouvait un point noir. Je me sentais bien, détendue, j’avais l’impression de flotter, de voler dans les airs. J’étais légère comme un plume, je ne sentais plus mon corps. Un bourdonnement me parvenait, lointain, sourd, improbable. J’aurai voulu rester tout le temps dans cet endroit paradisiaque de calme. Mais le point noir commencai a grossir, je me sentis attirée par lui, inexorablement. Je luttai… je ne veux pas… je veux rester ici… je ne veux pas en partir.

Le bourdonnement se fit plus net, plus précis, j’entendis qu’on m’appelait, qu’on me parlait, une voix douce, chaude, rassurante, qui pénètrait en moi, qui me faisait frissonner de plaisir. j’ouvris les yeux doucement et je rencontrai ceux de mon Maitre, brillants de bonheur et d’inquiétude mêlés. Ma tête était posée sur ses cuisses nues. Il caressa doucement mes cheveux et ma joue, et j’accompagnai ce mouvement pour nicher mon visage dans sa main.

« Mon Maitre… »


 Fin

Par M_Offerte - Publié dans : Textes SM
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